Élections au Conseil de l’Ordre 2023
Tous deux anciens présidents de l’Union des Jeunes Avocats de Paris (2019-2020 pour Marion et 2021-2022 pour Charles), Marion et Charles se sont engagés pour les Consœurs et Confrères depuis de nombreuses années.
Ils ont, tout au long de leurs parcours syndicaux et associatifs respectifs, eu à défendre de manière transversale les nombreux enjeux auxquels s’est confrontée la profession ces dernières années.
Lors de sa présidence, Marion a beaucoup œuvré à la défense du régime de retraite des avocats avant de travailler à l’accompagnement des Confrères et des justiciables pendant la crise de la Covid. En parallèle de ces sujets dictés par l’actualité et dans la continuité des travaux menés auparavant au sein de la commission permanente de l’UJA ou de la FNUJA, elle a mobilisé l’UJA sur l’entrepreneuriat des avocats (pluralité d’exercice, apport d’affaires, quota litis…).
Charles, pour sa part, a fortement impliqué l’UJA dans la défense du secret professionnel, pour défendre un secret absolu des avocats, non seulement auprès du grand public et au travers des médias, mais également devant les institutionnels.
D’une manière plus générale, ils se sont toujours impliqués dans leurs mandats en faveur de l’égalité des droits entre les avocates et les avocats, prenant des positions fortes pour la parentalité, l’inclusion et la défense des plus jeunes.
Par la suite, Marion a eu l’honneur de présider la commission Droit et entreprises du Conseil National des Barreaux, dont elle est membre sortante. L’objectif de cette commission est de développer le réflexe avocat auprès des entreprises et des pouvoirs publics, ce qu’elle a fait par la promotion de la profession et de son expertise auprès tant du pouvoir politique que de la presse, des entreprises et du grand public.
Charles, quant à lui, s’est toujours intéressé aux questions relatives aux droits fondamentaux et à l’accès au droit. Son expérience nationale au bureau de la FNUJA sur l’année 2022-2023 lui a également permis de mieux comprendre les enjeux territoriaux de la profession et de s’intéresser à la réforme de sa gouvernance.
Enfin, à titre professionnel, leur binôme est ancré dans la diversité des pratiques du droit et du Barreau, puisqu’ils ont tous deux connu différentes structures avant de créer chacun leur cabinet en vue d’exercer en droit commercial et propriété intellectuelle pour Marion et en droit des étrangers et droit pénal pour Charles.
En tant que candidats au Conseil de l’Ordre investis par l’UJA, ils souhaitent avant tout réaffirmer qu’avocat est toujours un métier d’avenir, sous réserve de le faire évoluer continuellement, dans le respect de nos principes, de restaurer la confiance dans nos institutions et de demeurer solidaires entre Consœurs et Confrères.
Ils partagent tous deux une vision prospective et enthousiaste de la profession, conscients du travail parcouru depuis des années par l’Ordre, souvent sous l’impulsion de l’UJA, mais également des nombreuses voies d’amélioration qu’il reste encore à explorer pour un Ordre plus proche des avocats parisiens.
Titulaire d’un DJCE et d’un M2 en droit de la propriété industrielle, Marion a créé son cabinet l’an dernier, après plus de 11 ans en collaboration. Elle exerce en droit commercial et propriété intellectuelle. En parallèle elle pratique assidument le yoga et est fan de théâtre.
Marion a été élue à la Présidence de l’UJA de Paris en 2019/2020 après quatre années au service des jeunes avocats et a co-présidé la commission exercice du droit de la FNUJA. Passionnée par l’entrepreneuriat, elle a travaillé sur les questions en lien avec le développement économique des cabinets d’avocats (pluralité d’exercice, nouveaux marchés, etc…) mais également sur l’égalité professionnelle ou encore de protection sociale (notamment dans le cadre de son mandat de déléguée à la CNBF).
Elle poursuit actuellement son engagement au service du rayonnement de la profession à la suite de son élection au Conseil National des Barreaux où elle préside la commission Droit et entreprises, qui a pour mission de développer le réflexe avocat auprès des entreprises et des pouvoirs publics. Ainsi, au cours de cette mandature, elle a pu travailler sur l’engagement solidaire des avocats auprès des entreprises lors de la crise économique et sanitaire, les besoins de droit des entreprises, notamment pour la protection de leur patrimoine immatériel et enfin, les nouveaux marchés et défis offerts par le développement de la RSE. Marion a également participé aux travaux du groupe de travail sur la lutte contre le harcèlement et la discrimination au sein de la profession, ainsi qu’à ceux de la commission Statut professionnel de l’avocat qui traite des questions relatives aux modes et structures d’exercices de l’avocat.